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Ce dimanche à 20h45, Arte diffuse un documentaire en immersion avec les archéologues sous-marin sur un trois-mâts amiral de la flotte de Louis XIV, Opération Lune. L’occasion de découvrir les innovations technologiques d’exploration sous-marine.
image d'archive. Crédits photo: AFP
Le voilier qui repose à 90 mètres sous la mer au large de Toulon a coulé en 1664. Il était parti ravitailler le corps expéditionnaire du jeune Roi Soleil qui essuyait une sévère défaite contre les pirates barbaresques en Afrique du Nord. Au retour, le trois-mâts déjà âgé rapatrie près d’un millier d’hommes, pour la plupart blessés et malades. Mais lorsqu’il arrive à Toulon, le port préfère lui refuser l’entrée, et l’envoyer aux îles d’Hyères, pour dissimuler le fiasco, prétextant un risque de peste. Ce sera le voyage de trop. Le 6 novembre, le trois-mâts essuie une tempête géante et « coule comme du marbre », comme le raconte Michel L’Hour, directeur de l’exploration archéologique de cinq jours présentée ce dimanche soir sur Arte. Par la voix de Lambert Wilson, les téléspectateurs pourront suivre au jour le jour les réussites - les premières remontées d’objets - mais aussi les coups durs, comme les casses, de cette exploration. Le documentaire montre également comment les archéologues, sans plonger, peuvent s’approprier l’épave grâce à la simulation 3D. Ce documentaire est à la fois une plongée dans le XVIIe siècle figé sous la mer et dans le futur de l’archéologie sous-marine.
Chantier laboratoire
La deuxième vie du trois-mâts Opération Lune commence en 1993 lorsqu’il est retrouvé par Paul-Henri Nargeolet, spécialiste du Titanic. Mais à l’époque, les techniques de fouilles sous-marines ne permettent pas un chantier archéologique approfondi. Les archéologues doivent donc attendre une vingtaine d’années avant de revenir sur place avec de nouvelles techniques. Le Remora 2000, un sous-marin équipé d’un prototype de caméra, est notamment mobilisé pour filmer le voilier englouti. Le dispositif sous-marin est complété par un robot contrôlé à distance et un scaphandre qui permet de protéger un plongeur de toute pression extérieure jusqu’à 300 mètres de profondeur. Le résultat est époustouflant. « On travaille au font tout en étant à la surface », explique Michel L’Hour. Le chantier de la Lune offre de nouvelles perspectives pour les épaves gisant là où l’homme ne sait pas descendre.
image d'archive. Crédits photo: AFP
Le voilier qui repose à 90 mètres sous la mer au large de Toulon a coulé en 1664. Il était parti ravitailler le corps expéditionnaire du jeune Roi Soleil qui essuyait une sévère défaite contre les pirates barbaresques en Afrique du Nord. Au retour, le trois-mâts déjà âgé rapatrie près d’un millier d’hommes, pour la plupart blessés et malades. Mais lorsqu’il arrive à Toulon, le port préfère lui refuser l’entrée, et l’envoyer aux îles d’Hyères, pour dissimuler le fiasco, prétextant un risque de peste. Ce sera le voyage de trop. Le 6 novembre, le trois-mâts essuie une tempête géante et « coule comme du marbre », comme le raconte Michel L’Hour, directeur de l’exploration archéologique de cinq jours présentée ce dimanche soir sur Arte. Par la voix de Lambert Wilson, les téléspectateurs pourront suivre au jour le jour les réussites - les premières remontées d’objets - mais aussi les coups durs, comme les casses, de cette exploration. Le documentaire montre également comment les archéologues, sans plonger, peuvent s’approprier l’épave grâce à la simulation 3D. Ce documentaire est à la fois une plongée dans le XVIIe siècle figé sous la mer et dans le futur de l’archéologie sous-marine.
Chantier laboratoire
La deuxième vie du trois-mâts Opération Lune commence en 1993 lorsqu’il est retrouvé par Paul-Henri Nargeolet, spécialiste du Titanic. Mais à l’époque, les techniques de fouilles sous-marines ne permettent pas un chantier archéologique approfondi. Les archéologues doivent donc attendre une vingtaine d’années avant de revenir sur place avec de nouvelles techniques. Le Remora 2000, un sous-marin équipé d’un prototype de caméra, est notamment mobilisé pour filmer le voilier englouti. Le dispositif sous-marin est complété par un robot contrôlé à distance et un scaphandre qui permet de protéger un plongeur de toute pression extérieure jusqu’à 300 mètres de profondeur. Le résultat est époustouflant. « On travaille au font tout en étant à la surface », explique Michel L’Hour. Le chantier de la Lune offre de nouvelles perspectives pour les épaves gisant là où l’homme ne sait pas descendre.
ninou- modérateur
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Sam 14 Juin - 17:13 par Henri
» bonjour
Ven 14 Fév - 14:17 par Henri40
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Mer 12 Fév - 15:35 par Henri40
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Mer 12 Fév - 10:32 par Henri40
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Mar 11 Fév - 18:40 par Invité
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Mar 11 Fév - 16:31 par Invité